Le collectif de chercheurs à l’initiative de la Revue française de socio-économie (RFSE) a décidé de ne pas attendre d’avoir précisément défini ce qu’ est la « socio-économie » pour lancer la revue du même nom…
On pourra qualifier cette posture d’audacieuse ou s’agacer de sa désinvolture. Les animateurs de la RFSE se veulent simplement pragmatiques et cherchent plutôt à prendre appui sur des courants de recherches existants, qu’ils viennent de la sociologie, de l’anthropologie ou de l’économie, mais aussi de la gestion, des sciences politiques ou de l’histoire, pour faire de la revue un lieu de mise en problématique permanente de l’identité scientifique d’une socio-économie telle qu’elle se fait. Pour autant la « socio-économie » n’est pas un « fourre-tout » académique. L’ensemble des disciplines qui la nourrissent partagent une même conception sociale-historique de leur objet. Mais cette conception n’est qu’un socle à partir duquel la richesse des approches socio-économiques peut se déployer pour rendre compte, de façon pertinente et sans monisme analytique, de la réalité économique dans toute sa complexité. Loin d’être un obstacle épistémologique, ce pluralisme disciplinaire est sans doute la ressource la plus précieuse qu’il appartiendra à la RFSE de faire fructifier.
http://rfse.univ-lille1.fr/
Aux responsables de la revue
J’ai l’honneur de venir très vite auprès de votre haute personnalité demander si c’est possible de publier mon article dans votre revue. En effet, je suis Dr (PhD) NGUELEKOUMOU Prud’homme avec deux publications déjà dont un livre et un article et je viens de finaliser un article sur le thème : qualité dès politiques et institutions et performance Macroéconomique en Afrique Subsaharienne : une étude de cas des pays de la CEMAC. Recevez mes cordiales salutations.