Le développement durable entre inflation et décroissance

Fondée sur des théorèmes empruntés à Marx, Marshall, Keynes et Robinson, qu’on reconnaitra aisément au passage, la proposition de synthèse ci-après s’inscrit dans la recherche d’une science économique non normative et non comportementaliste, simple outil de mesure des possibles au service de la politique dans un monde fini.

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La science économique dispose de deux quasi-constantes qui demeurent à ce jour en attente d’explications. La première, bien connue, est la « célérité de la monnaie », mesurable par le rapport M2/DIB et que les manuels attribuent à la « technique des banques ». Or, depuis 1960, la technique des banques a connu quelques révolutions, ne serait-ce que celle de l’informatique. Et pourtant, depuis cette date, la « célérité de la monnaie » ne présente toujours aucune tendance significative. La seconde quasi constante, moins connue et encore jamais commentée, est l’égalité tendancielle entre le taux de croissance et le « déflateur »…

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